C’est ainsi qu’ils étaient, dans la pénombre, leur mains étaient jointes, leurs pensées intérieures. Ces passagers là, va savoir pourquoi, j’ai osé les photographier au plus près, j’ai contemplé leur visage, en pensant à ceux du métro dont je ne photographie que les mains, en pensant aussi à cette phrase de mon fils, dite un peu plus tôt dans la journée : « tu sais, il y a des jours, j’ai du mal à me désendormir. «