La resucée est toujours considérée avec méfiance. Voire mépris. Mais quoi? Y a t-il tant de choses nouvelles sous le soleil? La seule chose qu’on puisse tenter, c’est la multiplication du même, sa diffraction, son agencement. Jouer du fait que sous le soleil les choses n’ont, selon l’heure, pas les mêmes couleurs. Jouer du mystère de la pleine lumière, expliciter dans le sombre. Et puis découper, recomposer. Petits rayons dardés, trompés, qui font que le monde usé, par nous même salivé, nous redevienne méconnaissable.