Sous la peau de la terre, il y a des acharnements qui veulent se mesurer au mien. Alors, arracher, arracher, arracher, tout cela d’inutile, de piquant, de vivace. Arracher pour le plaisir de vaincre. Arracher pour mesurer comme ça ne sert à rien. Pour le plaisir de voir resurgir l’inutile, le piquant, le vivace. Pour l’espoir que sous toutes les peaux, sous la mienne aussi, fomente la même ténacité.
(période de peu de temps, peu d’écriture, mais peut-être qu’en dessous ça continue)